Ce jeudi 9 novembre 2017, se tenait l’élection de la présidence du Comité de l’eau et de la
biodiversité de la Guadeloupe.
Environnement de la Collectivité Régionale a été élue Présidente, avec une large majorité.
Le Président de la Région Guadeloupe, Ary Chalus, se félicite de cette élection qui place la Collectivité régionale dans les meilleures dispositions pour agir efficacement sur les décisions opérationnelles qui doivent mener, avec l’investissement de toutes les collectivités locales, à des actions pérennes pour résoudre sans délais les problèmes insupportables de
l’alimentation en eau et de la gestion des déchets dans notre archipel.
Réaction de la nouvelle Présidente du Comité de Bassin :
« Mon élection à la présidence du Comité de l’Eau et de la Biodiversité s'inscrit dans la lignée d'une politique volontariste et offensive que met en place la Collectivité régionale pour répondre à la compétence de chef de file en matière de biodiversité que lui octroie la Loi sur la Biodiversité de 2015.
C'est la biodiversité au sens le plus large qui inclut, la gestion des ressources aquatiques, terrestres et maritimes. Par ailleurs, ma nomination au Comité national de la Biodiversité pour représenter l'archipel de la Guadeloupe est un aussi un élément de construction dans la politique régionale que nous déployons pour structurer notre territoire.
Ma fonction de présidente me permettra d'avoir une vision d'ensemble sur tous les enjeux du territoire et de proposer une politique diligente, constructive et de cohésion pour tous les dossiers structurants que nous aurons à réussir (bien au-delà de la simple appartenance au Comité Eau et Biodiversité) : la gestion de l'eau et les enjeux sur l'assainissement, la mise en place de la trame bleue et verte du schéma de mise en cohérence écologique (SRCE) pour optimiser l'aménagement de notre territoire via le schéma d'aménagement du territoire (SAR), la gestion des déchets et la mise en place de plates-formes multifilières, la création de l'agence régionale de la biodiversité, la gestion post-Maria des enjeux écologiques de restauration de notre biodiversité, une meilleure cohésion de travail entre notre Comité Eau et Biodiversité et le Comité de bassin maritime.
Voici brossés en quelques traits les principaux défis auxquels nous devrons faire face. »