Pointe-à-Pitre

Supérficie : 266 hectares

L’origine de son nom, Pointe-à-Pitre le doit à un pêcheur néerlandais prénommé Peter qui s’installa au 17e siècle sur une pointe de la rade actuelle pour y vendre son poisson, d’où ce nom dans un premier temps de « Pointe à Peter ».

Vers 1760, les Anglais construisirent un plan de la ville faisant de Pointe-à-Pitre la 2ème ville de Guadeloupe derrière Basse-Terre. La proximité des cultures de la canne et la qualité du mouillage l’imposaient peu à peu comme le centre du commerce de l’île. En 1772, la ville reçoit officiellement le nom de Pointe-à-Pitre.

En 1843, Pointe-à-Pitre fut entièrement détruite par un tremblement de terre, reconstruite quelques années plus tard, elle traversa le temps, rencontrant divers événements : épidémies, incendies et cyclones.

Le cyclone de 1928 détruit la ville. Elle est reconstruite et laisse apparaître les premières tours de béton. Une ville moderne est en train de naître.

Ouverte sur la mer des Caraïbes et l’Océan Atlantique, Pointe-à-Pitre est le point d’union entre les deux îles. Elle est le chef-lieu de la Grande-Terre, la capitale commerciale et industrielle, en même temps que le principal port de la Guadeloupe, l’un des mieux abrités de la Caraïbe.

C’est aussi le siège de la sous-préfecture, d’un tribunal d’instance, de banques, des consulats et de la chambre d’agriculture, du commerce et de l’industrie. Elle accueille sur son territoire l’Université des Antilles.

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